Depuis plusieurs années (notre couple date de L’AUTRE MILLÉNAIRE, t’sais), le dimanche, c’est notre jour de cuisine. Une habitude que j’adore!
Au réveil, armée de mon café, de mes livres de cuisine et de l’ordinateur, je choisis les recettes de la semaine. En fonction de ce qu’il reste dans le frigo, de ce qui est en saison, de ce qui a attiré mon attention sur les Internets la semaine précédente.
Ce n’est pas un plan avec des soirs assignés. Juste une liste de recettes pour l’ensemble de la semaine.
Je tâche de prévoir un plat de viande (parce que notre fille est très carnivore) et au moins un poisson. On complète avec deux plats végétariens. D’habitude, avec quatre recettes, on est bons jusqu’au dimanche suivant!
(Pourquoi je me charge seule de la sélection? Parce que c’est la partie de la préparation des repas que Chéri aime le moins, alors que moi, ça m’amuse. Aussi simple que ça!)
Après le déjeuner, j’installe la mini sur mon dos et on part à la chasse aux ingrédients.
Objectif du reste de la journée : cuisiner un max en prévision de la semaine!
On prépare entièrement les plats qui se réchauffent bien : ragouts, chili, curry… c’est notre genre de recettes préféré!
Pour les plats qu’il faut cuisiner le jour même, on fait le plus d’étapes possibles le dimanche et on finalise juste avant de consommer. Pour une tarte salée, par exemple, je prépare la pâte à tarte (la pâtisserie, ça aussi, c’est mon département!) et on cuit les légumes de la garniture, qu’on range séparément. Le soir où l’on décide de la manger, il suffit d’abaisser la pâte, de finaliser la garniture et d’enfourner.
Même principe pour mes salades du midi : notre blitz culinaire du dimanche est l’occasion de laver les verdures, de faire cuire les légumineuses ou les oeufs durs et de griller les noix. J’assemble le tout au dernier moment.
Pourquoi consacrer un jour de congé à la cuisine? Parce que ça allège nos soirs de semaine. Parce que Chéri préfère les lunchs à réchauffer plutôt que les sandwichs (et qu’on est pas mal anti-bouffe-industrielle, alors pas question d’acheter des repas surgelés). Et parce que cuisiner à quatre mains (ou plutôt à six mains, maintenant!), avec un verre et un fond de musique ou de radio de Radio-Canada, pour nous, c’est loin d’être une corvée!
Avez-vous l’habitude de cuisiner à l’avance?