Choisir les couches lavables et non jetables, des meubles, vêtements et jouets de seconde main et n’acheter que l’essentiel pour mon bébé. C’était mon plan pour éviter la consommation abusive venant avec l’arrivée d’un bébé. J’en profite tout de suite pour faire un message à mon entourage : mon fils ne veut pas l’inventaire entier d’un Toys’R’Us pour son premier Noël.
L’envahissement a commencé par la chaise vibrante. Je la regarde encore de travers. Elle est tout le temps dans mes jambes. Il faut quand même donner à César ce qui revient à César : elle me permet de prendre une douche de temps en temps.
J’ai eu la chance de recevoir, par des amies et de la famille, beaucoup de choses. Merci infiniment d’ailleurs. Si certains jouets d’éveil sont encore dans des boîtes, c’est parce que j’ai une peur bleue que mon salon ressemble à celui d’une garderie familiale.
Je ne voulais pas de tapis d’éveil hallucinant, ni de turbo balançoire, ni de millions de TOUTOUS. Je tiens à ce que mon fils soit stimulé par le jeu, les rires ou le toucher. En portage, bébé me regarde souvent couper des légumes ou plier du linge. C’est un curieux, mais surtout un garçon sociable. Je pensais que ce serait suffisant.
Rassurez-vous, il a quand même un jouet de dentition qu’il peut mâcher à souhait et jusqu’à tout récemment, une pieuvre Lamaze. Je l’ai sortie d’une boîte après que mon fils ait eu les yeux tout grands écarquillés en voyant les jouets d’éveils multicolores aux mille textures.
À bien y penser, j’aime mieux enjamber des bébelles qui illuminent les yeux de mon fils qu’avoir une maison Pinterest. Il ne tient qu’à nous de faire des choix réfléchis. Je pense donc à nous trouver les plus chics rangements pour y cacher la future montagne de jouets les jouets de mon fils.
Comment gérez-vous la quantité et la qualité des jouets qui entrent chez vous?