Peut-on survivre à l’allaitement nocturne sans se transformer en Godzilla?

Réalité
Il y a évidemment des bébés plus dormeurs que d’autres, et ça doit jouer sur le moral. F.-A. dormait en général 1h puis on passait 1h en boire/changement de couche/bercer. Ç’a été plus difficile que je ne le pensais. T’sais, quand tu es tellement fatiguée que tu te réveilles en sursaut et en panique pensant avoir oublié de remettre le bébé dans son moïse…

Pour survivre, j’ai développé des trucs pour me changer les idées.

1.   Même si c’est la cinquième fois que bébé se réveille, respirer par le nez et admirer le petit être. R-e-s-p-i-r-e-r. Ce n’est pas de sa faute. J’ai été une seule fois en colère (on s’entend, j’ai pris F.-A. avec une mini-once de rudesse, mais en dedans de moi j’étais en beau maudit) et je m’en veux encore.

2.   Manger et boire. Je n’ai jamais eu aussi faim et soif que les premières semaines quand j’allaitais et ça fait passer le temps.

3.   Mon ami, mon amour, mon sauveteur pendant la nuit c’était le iPad (un téléphone intelligent peut faire aussi). Je lisais LaPresse+ ou plein de blogues (comme TPL). Des articles courts et pas trop demandants intellectuellement, c’est parfait pour un cerveau plein de sommeil. Et un écran, ça garde réveillé. 
 

5.   Une activité plus calme : observer ce qui se passe dehors la nuit. Ça peut être intéressant surtout si, comme moi, vous vous couchez normalement à 10h. J’ai même assisté à une opération policière dans ma rue!

Comment passez-vous vos nuits avec vos seins et le bébé?