3 tops conseils pour survivre quand on est parent

 

Le bruit court que je ne suis pas particulièrement zen dans ma vie de maman. Peut-être à cause de ce billet et ce billet? Peu importe, le bruit a tout à fait raison et je suis persuadée de ne pas être la seule.
  

Au fil du temps, j’ai développé quelques techniques pour contrer cet état de panique perpétuel qui m’habite un peu trop souvent. L’une d’elles étant de remplacer les « SEIGNEUR-DOUX-JÉSUS ON VA TOUS MOURIR » et les « Après ça, l’univers va exploser, c’est clair » qui me trottent dans le cabochon par de petites phrases apaisantes et pleines de vérité. Inspirées de perles de conseils récoltées au fil de discussions avec de grandes sages, ces techniques vous aideront peut-être vous aussi à trouver votre happy place parental! 

Faque c’est ça…chacun son happy place…on ne juge pas!
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3. Mama knows best 
Ironiquement, commençons par un conseil anti-conseils. Applicable quand la voisine du dessus, qui réalise que ta famille ne mange pas de viande, te dit que « ça doit être pour ça que ton plus vieux est si pâle ». Ou quand ton arrière-grand-mère hurle à qui veut bien l’entendre qu’il « est pas fatigué c’t’enfant-là! » pendant que tu tentes de : gérer une crise de larmes/l’endormir/n’assassiner personne. Ou quand n’importe qui, n’importe quand essaie de te faire croire qu’il en connait plus que toi sur l’être qui partage ton ADN.  
Avoir fabriqué un humain ne fait pas de vous un professionnel de la santé. Ça ne vous donne pas le droit de pratiquer une trachéotomie avec des baguettes chinoises au moindre symptôme de rhume. Mais ça vous élève au statut de spécialiste de votre mini. Suivez vos feelings de mamans et donnez un verre de blanc à votre arrière-grand-mère.

 

2. Écoute! 
La maman pas patiente que je suis devrait se le faire tatouer sur le front. Juste au-dessus de la journée du ramassage des ordures. Bref. 

 

Souvent, nous avons une lecture très « adulte » des problèmes et des émotions des enfants. On veut régler la chicane le plus rapidement possible, passer à autre chose. Tu ne veux pas m’écouter? Conséquence! Mais si c’était notre travail d’écouter un peu des fois? Mes enfants ne possèdent pas toujours le vocabulaire adéquat pour expliquer les choses correctement. C’est à moi de lire entre les lignes. 
  

1. Tout est une phase 
L’ultime. Celui qu’il fait bon se répéter quand les cernes, les crises, les mottons de poussière, les tâches de « renvoiyou » sur l’épaule, les otites grimpantes (!!!) s’accumulent.

  

Bébé boit toutes les deux heures? Une phase. Ça va passer. Fille du milieu maîtrise à la perfection toutes les subtilités du mot « NON »? Une phase. Grand garçon décide qu’il peut très bien assumer l’attitude de marde d’un ado hormonal du haut de ses 5 ans? Une phase. 
 

Et si, comme tout n’est pas que magie et licornes en ce bas monde, vous savez pertinemment que ce que vous vivez n’est pas une phase, votre façon de voir les choses, elle, l’est. Ça va passer.