Ça y est! Vos basilic, coriandre et persil annuels sont achetés! Ils n’en peuvent plus d’attendre leur sortie extérieure. Je les comprends. Mais une fois dehors, car c’est en plein le temps de les sortir, ils peuvent avoir une durée de vie décevante pour qui accorde plus de soins à ses enfants qu’à ses plants. Mon petit conseil de paresseuse? Pensez vivaces!
Oui, c’est le temps de l’année où la longueur des pantalons est inversement proportionnel à la file d’attente au centre jardin. Lorsque j’étais jeune et naïve, je pensais qu’entretenir un jardin était un jeu d’enfant, même avec quatre petits accrochés à mes jambes et à mes culottes courtes. Après quelques bouchées de terre de ma progéniture et essais horticoles de mes mains (plus très propres), j’ai compris que me battre contre mère Nature était stupide (merci de l’enseignement, M. Hodgson). De un, c’est toujours elle qui gagne. De deux, je préfère garder mon temps et mes batailles maternelles pour des choses plus importantes, ou non.
Les vivaces, ces végétaux qui résistent aux rigueurs autant de vos humeurs que des saisons, n’attendront pas votre permission pour pousser. Qu’elles soient en pots ou au jardin, vous les planterez une fois. C’est tout. La nature se chargera du reste.
Voici les fines herbes qui poussent présentement chez moi comme de la mauvaise herbe et qui agrémentent à merveille mes soupers relax d’été!
Oui, c’est le temps de l’année où la longueur des pantalons est inversement proportionnel à la file d’attente au centre jardin. Lorsque j’étais jeune et naïve, je pensais qu’entretenir un jardin était un jeu d’enfant, même avec quatre petits accrochés à mes jambes et à mes culottes courtes. Après quelques bouchées de terre de ma progéniture et essais horticoles de mes mains (plus très propres), j’ai compris que me battre contre mère Nature était stupide (merci de l’enseignement, M. Hodgson). De un, c’est toujours elle qui gagne. De deux, je préfère garder mon temps et mes batailles maternelles pour des choses plus importantes, ou non.
Les vivaces, ces végétaux qui résistent aux rigueurs autant de vos humeurs que des saisons, n’attendront pas votre permission pour pousser. Qu’elles soient en pots ou au jardin, vous les planterez une fois. C’est tout. La nature se chargera du reste.
Voici les fines herbes qui poussent présentement chez moi comme de la mauvaise herbe et qui agrémentent à merveille mes soupers relax d’été!
La menthe
Les fines herbes préfèrent le soleil. Mais la menthe peut pousser quelles que soient les conditions. En fait, elle pousse si bien qu’elle peut devenir envahissante. À l’apéro, perso, je la préfère lorsqu’elle envahit mes mojitos.
Menthe, fin mai : ça donne soif!
Crédit : Gina Bluteau
Crédit : Gina Bluteau
La ciboulette
Certainement l’herbe que mes enfants ont le plus mâchouillée, la ciboulette pousse facilement à condition de la diviser régulièrement. Condiment passe-partout, j’aime la couper et la mâchouiller en petites bouchées.
Ciboulette en baril, fin mai : petit désherbage et petites bouchées en vue
Crédit : Gina Bluteau
Crédit : Gina Bluteau
Le thym
Couvre-sol odorant, le thym peut remplacer la pelouse ou se frayer un chemin entre les dalles. Il est aussi apprécié pour ses vertus médicinales : antiseptique, antibiotique, antispasmodique, name it. Je l’utilise principalement en cuisine pour guérir mes envies de grillades au BBQ.
Pelouse de thym, fin mai : vous avez dit « tondeuse »?
Crédit : Gina Bluteau
Crédit : Gina Bluteau
L’origan
L’origan et moi, c’est une véritable histoire d’amour. Je l’aime dans tout ce qui a des tomates. Surtout, chaque automne, je coupe de gros bouquets que je suspends à sécher au mur de ma cuisine : déco simple, pratique, jolie, économique, embaumante. L’amour, j’vous dis.
Origan frais, fin mai : origan séché le reste de l’année
Crédit : Gina Bluteau
Avez-vous d’autres petits trucs pour jardiner sans trop en faire?