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McDonald’s

Je trouve que les papas ont la vie dure des fois avec l’image médiatique qu’on montre d’eux. T’sais, je sais ce que c’est d’être maman dans un contexte où on cherche qui doit prendre quelle place, mais je pense qu’on ne donne pas assez de tapes dans le dos à nos papas. Comme ce ne sont pas eux qui ont à porter le bébé pendant la grossesse, leur rôle est moins concret pour eux.
 
Je me souviens de l’expression du visage de mon chum, mon #paparfait, lorsque le cœur de notre enfant a décéléré rapidement pendant mon accouchement. C’était un mélange de peur profonde que ça se passe mal et de confiance en moi qui pouvais le sortir de là en santé. Son « ok Jojo, faut que ça sorte » m’a donné la force de finir cet accouchement-là en beauté.
 
Au-delà de sa participation aux tâches quotidiennes, je crois que c’est comment il agit avec notre garçon qui le rend le plus #paparfait. Je pense notamment à toutes les fois où mon garçon lui fait goûter quelque chose que je trouve dégueu et qu’il ne bronche pas, toutes les fois où je les « pogne » en train d’avoir une discussion rocambolesque sur un sujet ou un autre qui allume mon garçon, ou à sa patience légendaire pour l’intéresser à des choses pendant les longs déplacements en voiture.
 
Je l’admire aussi quand il le prend dans ses bras, malgré son poids d’enfant de trois ans et le fait qu’on s’entraîne moyen. Peu importe quand il le demande et peu importe la charge de stock qu’il traîne en même temps.
 
Je suis vraiment fière de lui aussi, parce qu’il est à l’écoute de mes conseils pour améliorer la routine, mais qu’il sait aussi imposer son style.
 
La parentalité, c’est une belle discussion, et c’est important de souligner les bons coups, parce que ça motiverait n’importe quelle personne.
 
Je vous invite à nous partager sur les réseaux sociaux comment vos chums sont des #paparfait et qui sait, peut-être qu’on va reprendre vos exemples dans un texte bientôt 😉