En cette semaine de la profession infirmière, j’avais envie de donner la parole aux collaborateurs et collaboratrices de TPL Moms pour mettre en lumière l’importance de ces professionnel.le.s dans les moments cruciaux de nos vies et auprès des êtres qui nous sont les plus chers.
Étant moi-même infirmière, mais surtout parce que j’ai si souvent bénéficié de soins extraordinaires à titre de patiente, mes collègues, mes ami.e.s, je vous dis et nous vous disons, du plus profond de notre cœur, MERCI!
Témoignages
« Étant suivie au CHUM pour ma grossesse, je vois un médecin différent à chaque rendez-vous, mais ça ne me dérange pas parce que les infirmières, elles, sont toujours les mêmes et je les adore. Je ne sais pas quel médecin sera présent à mon accouchement et franchement, ça importe peu, car ce sont les infirmières qui comptent pour moi. »
« TOU.TE.S les infirmiè.e.s. qui ont veillé sur mon père à l’hôpital d’Ottawa et lui ont littéralement permis de rester en vie. »
« Je dirais merci aux infirmières en néonatalogie de l’Hôpital Général Juif, particulièrement celles au step-down. Elles sont les psychologues et alliées des parents désemparés! Pour moi, elles sont comme des fées marraines, aimantes et rassurantes. »
« J’étais enceinte de mes jumelles et j’ai dû me rendre aux urgences de l’Hôpital Charles-Lemoyne deux fois en plein milieu de la nuit. C’est une très gentille infirmière qui m’a fait des soins très intimes les deux fois et même si c’était une expérience où le malaise aurait pu dominer, elle m’a tellement fait me sentir bien et confortable que je lui ai dit que j’aimerais qu’elle soit là à mon accouchement. Finalement, j’ai eu une césarienne d’urgence quelques semaines après ces incidents nocturnes et même si elle n’était pas présente à mon accouchement, je l’ai vue juste avant d’accoucher et ça m’a fait chaud au cœur. J’aimerais aussi remercier une infirmière de la pouponnière de Charles-Lemoyne qui m’a aidée à prendre soin des jumelles pendant les 12 jours où elles ont été hospitalisées. J’étais là tout le temps et rarement accompagnée. Elle m’a prodigué conseils, câlins et réconfort. »
« L’infirmière Doris à l’hôpital Lasalle! C’était mon infirmière désignée pour ma fille lors de mon accouchement, mon Dieu que je l’ai aimée. Quand j’ai accouché de mon garçon, elle était sur le plancher et j’ai demandé si elle pouvait s’occuper de moi. Elle ne pouvait pas, elle était occupée, mais elle s’est organisée pour se libérer et pouvoir s’occuper de moi quand même. Elle riait de chacune de mes jokes plates et dégageait une confiance et une assurance qui me contaminaient. »
« Lors de mon accouchement dans un hôpital universitaire, j’ai eu la chance d’avoir une étudiante en soins infirmiers qui m’a épaulée, encouragée, aidée avec un beau mélange de douceur et d’incertitude. C’était parfait pour moi. Comme femme qui accouche, je me suis trouvée choyée d’être sous le regard de cette étudiante-infirmière d’un grand professionnalisme qui faisait tout son possible pour être à la hauteur. On a appris ensemble, cette journée-là. Quand je suis finalement partie de la chambre, elle m’a dit “je n’oublierai jamais ton accouchement”. Je savais non seulement que c’était vrai, mais que moi non plus je n’oublierais jamais son visage. »
Ne manquez pas la partie 2 pour la suite des témoignages.
À quelle infirmière ou infirmier aimeriez-vous dire merci?