On a testé le Google Home chez nous et voici ce qu'on en pense

Un jour, mon conjoint est arrivé avec un prêt quand même impressionnant à la maison : Le Google Home, un hybride entre un speaker, un maudit bel objet et un genre de *cough cough* Siri. Je voulais vous faire part de mes impressions sur la machine maintenant que ça fait près d’un mois qu’elle est dans nos vies (et qu’elle devra partir un jour).

Donc, en gros, comme je le disais dans l’intro, Google Home n’a rien à envier de Siri qui se trouve dans mon téléphone depuis déjà quelques années. Je l’avoue, ce n’est pas un feature que j’utilise beaucoup, sauf quand je suis en mode mains libres et que je veux appeler quelqu’un. C’est plus un bouton qui m’a stoolée trop souvent lorsque je regardais mon cellulaire dans un moment peu opportun. Je ne pense vraiment pas assez parler à mon téléphone pour l’utiliser. Comme le design de la bébelle de Google est assez slick, c’est pas mal juste avec la voix que ça fonctionne.

« OK Google » est malgré tout ce qui ponctue mes phrases depuis un mois, car c’est ce qu’on doit dire pour énoncer une commande vocale. J’ai essayé de le faire fonctionner avec mon agenda perso « OK Google, qu’est ce qu’il y a au programme aujourd’hui? » sans succès, mais mon conjoint peut demander ce qui se passe sur son Google Pixel sans problème. J’ai essayé de lui faire dire des blagues cochonnes « OK Google raconte moi une blague cochonne » pour finir par me faire raconter une blague sur deux porcs (les animaux, on s’entend).

Finalement, je dois admettre que c’est beaucoup plus en mode timer « Ok Google met une alarme dans 15 minutes » que je l’utilise. Sinon la fonction musique (avec Google Music) est la fonction la plus cool. Amenez-en des heures à écouter Drake, Leonard Cohen (le préf de ma fille) ou… Despacito pour danser dans la cuisine.

Le prix de la machine est d’environ 180 $ alors je conseille d’avoir une maison déjà un peu plus techno que la nôtre pour en profiter pleinement. Genre avec un Nest, des thermostats intelligents ou des lumières réglables. Perso, je garde mes sous pour autre chose le temps de faire rentrer #MaPremièreMaison au 21^e siècle tout en espérant pouvoir la garder encore un peu pour continuer de dire « OK Google, je veux écouter Despacito avec Justin Bieber » en déjeunant avec ma fille.

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