On dit bretzel ou pretzel? Mon amie Constance m’a appris grâce à sa merveilleuse lecture de Wikipédia que seuls les États-Unis utilisent le mot pretzel. Avoir su que l’énigme était aussi facile à résoudre, j’aurais cherché moi-même.
Ça y est, on est tous sur la même longueur d’onde à ce sujet. Je voulais vous dire que maintenant je sais faire des bretzels, je vais sûrement m’essayer pour faire des bagels parce que je me rends compte que ça se ressemble, même si mon amie (toujours Constance) me chuchote à l’oreille qu’il faut de la fécule de pomme de terre dans la deuxième. M’enfin!
L’expérience maintenant : comme je ne suis pas super bonne en pâtisserie et en pétrissage, je me suis prise d’avance pour m’assurer que tout ce qui allait suivre allait bien se passer. La recette est vraiment simple surtout si on la prend vraiment en deux étapes : soit les bretzels et après la sauce fromagée une fois que les biscuits alsaciens (eh oui, on a vraiment lu le wiki au complet) sont au fourneau. De toute façon, il y a un temps de lever de 1 h 30, donc ça vous laisse le temps de préparer la trempette.
J’ai fait fondre du beurre dans une casserole, puis j’ai ajouté de la farine. Deux minutes plus tard j’ai incorporé de la bière, de la moutarde, du lait, du sel et du paprika. Et à la fin, j’ai mis plein de fromage. C’est juste – OMG – trop bon! J’ai eu du mal à ne pas la dévorer (voire, la boire comme une soupe) au complet avant que les bretzels soient prêts.
Après, il faut faire pocher la préparation des futurs gâteaux apéritifs (on n’arrête pas les synonymes) dans l’eau, parce que ça aide à faire gonfler une dernière fois le mélange pour ensuite enfourner les bretzels pendant 15 minutes.
Pendant un moment, j’y croyais pas que ça allait bien finir, car je ne les voyais pas dorer, mais finalement, ils sont sortis du four bruns et chauds. On s’est empressées de les tremper dans la sauce au fromage et c’était magique! Le petit goût de bière, le bon fromage et le bretzel sont un mariage qui vaut le temps que ça prend!
Pour la recette, c’est juste ici.