Nous revenons tout juste d’une semaine en amoureux en Islande. Nous sommes partis juste au bon moment, ne nous doutant pas que la situation au niveau du COVID-19 dégénérerait aussi vite. Par conscience sociale (et parce que c’est la recommandation du gouvernement), nous nous sommes mis en auto-isolement. Les enfants aussi, même s’ils n’ont pas voyagé avec nous.
Sauf que là, mon fils est déjà en train de se transformer en zombie tellement il a le nez collé aux jeux vidéo. Ça me prenait de l’imagination et une liste d’activités «zéro écran» pour survivre à notre «quarantaine». Je vous la partage gracieusement, si jamais vous avez le même problème que moi. Sinon, c’est correct aussi que cette liste ne soit pas pour vous et votre famille.
Outre les traditionnels jeux de société et les livres, voici ce que j’ai trouvé pour occuper les enfants et rendre ce moment, un peu inquiétant, plus agréable.
- Prendre une marche avec le chien (ou sans chien, ça fonctionne aussi)
- Se fabriquer une baguette Harry Potter
- Faire des expériences scientifiques
- Cuisiner en famille
- Faire du yoga
- Créer une bande dessinée familiale
- Se faire des tatouages avec du eyeliner
- Aller courir ou faire de la raquette dans le bois
- Imaginer des parodies de publicités et se filmer
- Jouer de la musique / ou encore se fabriquer un instrument pour les plus petits
- Faire une maquette
- Construire une cabane avec des couvertures
- Se fabriquer un jeu des 7 familles à l’effigie de la nôtre
- Faire de l’origami 3D avec Arthur
- Fabriquer du sable lunaire
- Se faire une cabane à sucre maison
Et parce que les écrans peuvent être utiles pour maintenir le rythme scolaire ou apprendre de nouvelles choses, voici d’autres suggestions:
- Visiter un musée virtuel
- Faire de la révision (selon le niveau scolaire) grâce à des jeux ludiques sur Menu Apo
- Apprendre une nouvelle langue ou pratiquer son anglais grâce à DuoLingo
- Visiter un nouveau pays grâce à Google Earth
Bref, peu importe l’activité, l’important est de rester chez soi quand c’est possible, de ne pas inviter de gens à la maison et de limiter ses déplacements. Parce qu’il faut savoir que la période d’isolement et de fermeture des milieux publics dépend directement du niveau de collaboration de la population.