Valérie Bidégaré signe un tout nouvel essai qui parle notamment de la pression de performance mise sur les mères, et la journée du 8 mars nous semble un bon moment pour vous présenter le tout. L’autrice évolue dans le milieu de la communication et du journalisme (elle est actuellement rédactrice en chef aux Éditions Pratico-Pratiques), et disons que les professions reliées à ces domaines sont compétitives et exigeantes. Après des années à chercher à tout concilier, travail, vie de famille, amitiés, couple, etc., Valérie a frappé un mur. Ses réflexions l’ont amené à rédiger l’essai Les Supermamans, un excellent texte que tout le monde devrait lire.
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Dans son essai, l’autrice se penche sur le concept de supermaman, une femme nécessairement heureuse et épanouie, qui fabrique ses produits ménagers, cuisine tous les repas et mène une vie familiale et professionnelle remplie. Elle est évidemment appuyée par un conjoint présent et ses enfants sont merveilleux.
Évidemment…
Bombardées de photos parfaites sur les réseaux sociaux et de modèles quasi inatteignables, les mères modernes se mettent souvent une pression immense sur les épaules. L’épuisement les guette au détour d’un changement de couche ou de la préparation de lunch. C’est pourquoi l’autrice a choisi de lancer un cri du cœur à ces mères épuisées en décortiquant comment la société a permis l’émergence d’un tel modèle et comment résister de l’adopter.
L’essai est disponible dès maintenant chez les Éditions Québec Amérique.