Une journée à oublier pour Maïka Desnoyers

Il y a de ces journées que l’on préférerait oublier et c’est exactement ce qu’a vécu Maïka Desnoyers, ce week-end.

Dimanche, la famille Desnoyers-Boulay s’est dirigée vers le Festival des Montgolfières afin d’assister à la performance de Justin Legacy, un chanteur country endossé par la maison de disques appartenant en partie à Étienne Boulay.

Dans une story publiée le jour même du spectacle, Maïka expliquait que sa fille et elle avaient dû se réfugier dans la voiture des parents du chanteur à cause d’une grosse averse. Toutefois, les stories suivantes montraient qu’elles avaient pu profiter de la soirée au sec, comme plusieurs autres spectateurs.

Ce lundi, Maïka a publié de nouvelles stories, où elle revient sur les événements. Malheureusement, elle les a depuis supprimées.

Dans la première, elle racontait qu’elle était contrariée puisqu’elle avait des passes lui permettant d’aller backstage, mais que l’employé du festival n’avait pas voulu lui permettre d’entrer. Elle ajoutait qu’il était peut-être nouveau ou que c’était peut-être la première fois qu’il était confronté à ce type de passe et que ça devait être pour cette raison qu’il ne les avait pas laissées passer, sa fille et elle. Elle ajoute que ce n’était pas très grave, mais qu’elle aurait au moins pu se trouver un endroit où se mettre à l’abri de la pluie; qu’elle est maintenant enrhumée des suites de l’événement.

Dans la seconde, elle raconte qu’elle attendait la livraison d’un nouveau sofa. Elle a fait affaire avec une entreprise de livraison et a spécifié avoir opté pour le service «gants blancs», mentionnant que celui-ci inclut une livraison dans la pièce où le meuble sera installé, en s’assurant qu’il soit propre et assemblé. Toutefois, la livraison ne se serait pas déroulée comme prévu. En effet, les livreurs lui auraient envoyé un message lui disant qu’ils allaient laisser le sofa à l’extérieur du domicile. Elle leur aurait répondu qu’elle était bel et bien absente, mais qu’elle avait laissé la porte ouverte afin qu’ils puissent accéder à la pièce où le sofa devait être installé. Comme elle n’acceptait pas que le sofa demeure à l’extérieur, les livreurs seraient tout simplement repartis avec ce dernier, malgré qu’elle leurs aient dit de le déposer à l’intérieur.

Le duo de stories n’a pas suscité le support voulu. Au contraire, Maïka avait désactivé les commentaires sur ses stories et au moment de les réactiver, elle a reçu quelques messages d’abonnés mécontents, dont un échange qu’elle a publié, en ajoutant:

«J’avais fermé la possibilité de me répondre via stories. Je l’ai rouvert hier à minuit et ça repart encore! Sérieux c’est lourd en cri**!».

Voici ce que raconte l’échange en question:

Abonné: «Je suis désolé, mais tu n’es pas la seule. Tout le monde qui était là ont vécu cela d’être mouillé et tu sais que c’est pas le froid qui donne le rhume.»

Maïka: «Je n’ai jamais dit que j’étais la seule. J’ai seulement parlé de mon expérience puisque je ne peux pas parler pour les autres.»

Abonné: «C’est pas cela, je t’adore mais des fois je trouve que les personnes connues ça chiale le ventre plein, dire que à cause que vous avez été mouillée vous êtres enrhumée ce matin, si c’est vraiment le cas, je suis vraiment désolé. Améliorez votre système, car combien de fois nous sommes mouillés dans des festivals ou spectacles? Et pour le divan, c’est la première fois que j’entends qu’une compagnie va livrer si vous êtes pas là».

Maïka: «Que je sois connue ou pas, je peux dire qu’on était trempe hier non? Que je sois connue ou pas, je peux dire que c’est ordinaire payer un surplus pour qu’il rentre le divan, mais que les livreurs refusent de le faire. Vous avez le droit de trouver que certaines personnes chialent, mais là… c’est de discuter de faits. Si vous appelez une amie pour lui dire que vous avez été pogné dehors à la pluie, est-ce que ça fait de vous une chialeuse? Non!»