Ah, les jeux vidéo. C’est un monde que j’admire mais auquel je ne participe pas. Jusqu’à la fin de semaine de Pâques.
Retour en arrière. Au début des années 2000, alors que je commençais mon secondaire, on a eu à la maison un ordinateur, Internet et des jeux. J’ai découvert Age of Empire et Age of Mythology. J’ai adoré. J’ai joué. Et à un moment donné, je me suis rendu compte que je jouais trop, que mes études étaient plus importantes… et j’ai juste arrêté. Oui, je sais, pas de demi-mesure ici. Je n’ai plus touché à des jeux vidéos jusqu’à ce que j’essaie la Wii à l’université et j’étais tellement nulle que j’ai re-arrêté.
Mon chum, lui, adore les jeux, quand il a le temps. Il a récemment commencé à jouer à Castle crasher avec F.-A., 5 ans. Ce dernier adore cette activité, mais ne peut le faire qu’avec mon chum puisque je n’y connais rien.
La fin de semaine dernière donc , ledit chum travaillait alors j’ai eu une demande surprenante :
F.-A. : « Maman, tu veux jouer avec moi au jeu de ninja? »
Moi : « Heuuuuuu….. Mais tu sais, je ne sais pas jouer. »
F.-A. : « C’est pas grave maman, je vais te montrer. »
Et c’est ainsi que mon enfant m’a montré comment fonctionne la manette de Xbox et comment jouer à son jeu. J’ai pris le personnage de mon chum (paraît-il qu’il ne faut pas faire ça) et on a joué. Je suis morte quelques fois, j’ai très littéralement appuyé sur n’importe quel bouton, mais c’était drôle.
C’est ainsi que j’ai découvert une nouvelle activité à faire une demi-heure de temps à autre avec mon fils. Ce n’est pas mon truc préféré à vie, mais je me dis que tant qu’à faire, autant développer un intérêt commun qui va durer longtemps!