Le pire moment de la semaine revient… au lavage des cheveux!

Étant bébé, mon fils était vraiment facile à vivre: il mangeait de tout, rigolait à la moindre grimace, ne pleurait pas beaucoup et, surtout, se laissait laver les cheveux sans dire un mot.

Et puis, du jour au lendemain, il est devenu tout l’inverse: « non » est devenu son mot préféré, il chigne pour pas grand-chose et, si je le torturais, il ne crierait sûrement pas autant que lorsque vient le temps de lui laver la tignasse! Cette phase (que j’associe peut-être à tort au fameux terrible two) a commencé vers ses 15 mois, tout juste après la naissance de sa petite sœur.

Je me suis alors dit que ça passerait, que l’arrivée de la cocotte était un gros changement pour lui et qu’il était normal qu’il réagisse ! Mais aujourd’hui encore, à l’aube de ses 2 ans, il n’est toujours pas redevenu l’enfant si facile qu’il était! Il forge sa personnalité, affine ses goûts et découvre qu’il peut s’affirmer. Malgré les crises de bacon pour un rien, je suis bien fière de le voir évoluer ainsi.

Par contre, s’il y a bien un comportement sur lequel je n’arrive pas à rationaliser, c’est assurément celui accompagnant le lavage des cheveux. Croyez-moi, il sort l’artillerie lourde! Il s’agit du moment le plus pénible de la semaine (oui, je lui lave les cheveux une seule fois par semaine, à moins d’une absolue nécessité qui demanderait un lavage supplémentaire!).

Je crois sincèrement avoir épuisé mes ressources dans ce dossier. J’ai essayé plusieurs techniques; d’abord de les lui laver dans le bain, puis dans la douche. J’ai ensuite commencé à embarquer avec lui dans l’un et dans l’autre, puis à me laver les cheveux à côté de lui dans le bain (il trouve ça drôle et veux même m’aider !). Ensuite, on lave les cheveux de sa petite sœur ou encore son grand frère lui montre comment faire… mais rien n’y fait… Dès que vient son tour, c’est la crise: il hurle du début à la fin.

J’imagine que je ne suis pas seule à vivre un tel drame… du moins, je l’espère!!! Je me tourne donc vers vous.

Quelles sont vos armes secrètes pour passer à travers ce genre de moment ?