Maud Leclerc et Rémi Racine ont fait un don généreux de plus de 1,2 million de dollars via leur fondation familiale à la Fondation des jeunes de la DPJ.

Les fonds seront utilisés pour améliorer la vie des enfants âgés de 0 à 5 ans qui sont sous la protection de la Direction de la protection de la jeunesse.

Cela permettra de lancer un projet visant à favoriser l’épanouissement et le soutien des jeunes protégés par la DPJ dans trois régions: Montréal, Côte-Nord et Nord-du-Québec. Une partie de l’aide sera également accordée aux familles d’accueil du Québec qui s’occupent d’enfants ayant des besoins spéciaux.

Le couple a décidé d’augmenter son soutien en raison du nombre élevé d’enfants de 0 à 5 ans pris en charge par la DPJ au Québec.

Le couple Leclerc et Racine comprend très bien l’importance des années de formation pour un enfant. Ils sont eux-mêmes passés par le processus d’adoption avec deux enfants adoptés à l’étranger. Le couple a été touché par une entrevue à la radio qui soulignait les difficultés auxquelles les jeunes font face lorsqu’ils quittent les soins de la DPJ. Ils ont collaboré avec la Fondation Philantra afin de concrétiser leur vision. Ils ont trouvé un moyen d’exprimer leurs actions directes en s’associant à la Fondation des jeunes de la DPJ.

La contribution de Leclerc et Racine est le plus important geste philanthropique que le couple ait posé à ce jour. Le nouveau projet vise à aider ces enfants de façon fondamentale et à leur donner un meilleur départ dans leur vie scolaire.

Fabienne Audette, directrice générale de la Fondation des jeunes de la DPJ, a exprimé sa profonde gratitude à Maud et Rémi, non seulement pour leur générosité et leur volonté d’agir, mais aussi parce qu’ils partagent la vision et les ambitions futures de la Fondation des jeunes de la DPJ.

Les directeurs de la protection de l’enfance de quatre régions du Québec, Assunta Galo, de Montréal, Nadia Denis, de la Côte-Nord et Daniel Latour, de la Baie d’Hudson, ainsi que la directrice intérimaire Caroline Simard, de la Baie d’Ungava, ont aussi exprimé leur gratitude.