Dernièrement, nous avons appris l’existence d’un calculateur d’heures de sommeil perdues pour les parents. À vrai dire, je n’avais pas tant besoin de cet outil parce que chaque jour, j’ai des exemples qui me prouvent clairement que j’ai un déficit de sommeil. Est-ce pareil pour vous?
1. Vous vous êtes déjà endormi.e en racontant une histoire ou pendant un interminable récit de votre enfant.
2. Vous retrouvez le lait dans l’armoire, les céréales dans le frigo, du jus dans votre café et vous êtes la personne responsable de ces étourderies.
3. Les boires de nuit sont l’occasion d’une date collective virtuelle entre parents, ami.e.s d’Europe ou d’Asie sur les réseaux sociaux, pour échanger et combattre le sommeil.
4. Vous notez tout parce que vous n’avez plus confiance en votre mémoire court terme (moyen et long terme aussi finalement!) et vous n’arrivez pas à retrouver ces fameuses notes.
5. Vos pastilles de goût se résument maintenant à caféiné et corsé ; confus et bourru.
6. Un film en fin de soirée n’équivaut plus à un divertissement, il constitue dorénavant une méthode d’endormissement efficace. Vous n’avez d’ailleurs pas regardé un long métrage en un seul visionnement depuis 2014.
7. Vous vous réveillez à 2 h du matin pour aller vous recoucher dans votre lit.
8. Vous réussissez enfin à dormir, mais vous vous réveillez pour des raisons illogiques : chercher frénétiquement bébé dans le lit ou entendre des bruits soudains dans la maison (alors que l’enfant est paisiblement endormi dans son landeau).
9. Vous avez des cernes dans vos cernes. Vos collègues commencent à se méfier de vous et votre enfant vous demande ce que sont toutes ces lignes sous vos yeux.
10. Depuis 2 ans, votre réveil-matin a une apparence humaine, crie maman et n’inclut pas la fonction snooze.
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